Tu t’es déjà demandé si ton désir d’être la “good girl” ou le “good boy” venait de plus loin que tu ne le penses ? 🤔
Souvent, ces comportements prennent racine dans notre passé : (extrait du podcast) - “Ce que je vois le plus, c’est que souvent, les good girl ou good boy sont des anciens bons élèves, comme je l’ai dit. Donc, une tendance à vouloir bien faire les choses, à vouloir bien écouter, que ce soit à la maison, dans le cadre familial ou que ce soit dans le cadre scolaire ou même dans la société en général”.
Mais la vie nous confronte parfois à des réalités bien différentes : 😔 (extrait du podcast) - “Alors, ça peut arriver, évidemment, qu’en suivant les règles, tout se fasse bien pour nous, mais on est quand même dans un monde qui a pas mal d’injustices, qu’elles soient sociales, qu’elles soient économiques, qu’elles soient personnelles, on vit pas mal d’injustices, et il y a des parts de toi qui peuvent peut-être ressentir cette injustice au quotidien, qui ne comprend pas. Je fais les choses bien, j’essaie de rentrer dans les cases, et je vis quand même des injustices!”.
Alors, comment le BDSM peut-il s’inscrire dans ce schéma ? Peut-il être une voie de guérison ou un terrain miné ? 🧐
(extrait du podcast) - “Donc, quand c’est bien fait, on peut vraiment avoir une personne qui commence à apprendre l’amour de soi, la confiance en soi, l’estime de soi, grâce à ce cadre sécuritaire, et à travers les yeux de son dominante, sa dominante. “
Dans l’épisode d’aujourd’hui de “Dis-moi Debora”, nous explorons ces questions et bien d’autres pour t’aider à naviguer dans le BDSM de manière consciente et épanouissante (malgré tes blessures du passé).